Couper l’illusion
La “vision directe” squeeze le jeu du personnage. Le fait d’ouvrir grand l’esprit l’inonde de présence. C’est comme si l’on baignait de lumière une salle obscure. Cette propension à mettre l’esprit en lumière s’acquiert facilement. Le facteur capable de nous freiner se situe au niveau de notre motivation. Nous prétendons vouloir nous libérer. Toutefois, une part de nous s’interpose et tente de nous en détourner.
C’est toujours au moyen d’un propos mental que l’illusion nous captive et qu’elle nous entraîne. Alors, tout de suite, c’est que nous sachions adopter la vision directe, qui constitue une parade, qui coupe court au jeu qui essaie de repartir. Ainsi, c’est de squeezer encore et encore la promptitude de l’illusion à se rétablir, qui réduit l’habitude qu’elle exerce et son emprise. Cela, jusqu’à nous en découvrir totalement libre.